Romance dans l’appartement, rue Lajeunesse 2

Résumé : Deux amants se retrouvent après que l’homme soit de retour d’un voyage d’affaire l’ayant retenu à l’étranger durant plusieurs semaines…

Enfin ils arrivèrent au condo ! Après ces deux longs mois sans s’être vus, les deux amants n’attendaient que ce moment. Elle mit la clef dans la serrure et ne pu s’empêcher de penser à la scène de Tenue de soirée avec Gérard Depardieu dans laquelle il raconte comment « Une serrure c’est comme tous les orifices, tu la démarres à la salive, puis tu attends qu’elle se donne ! », et elle ne put s’empêcher de sourire.

Une fois à l’intérieur, ils traversèrent le corridor pour rejoindre l’entrée et se libérer des gros manteaux d’hiver. Quand ce fut fait, ils s’étreignirent très fort, aussi fort que l’ennui qui les avait assaillis durant tant de jours ! Puis la main de l’homme remonta en caressant le dos de sa bien-aimée pour lui empoigner la nuque et l’embrasser fougueusement ! Embraser par cette passion, le ventre de la jeune femme fut harceler de frissons, presque des chocs électriques tellement cette étreinte avait été attendue ! Elle gémit, ses jambes commencèrent à trembler et sa gorge à se serrer. Les deux soupirants s’enlacèrent longuement dans le portique… Plus rien n’existait autour d’eux !

Au bout d’un moment, chacun ayant le souffle court, il la tira doucement vers le corridor, mais ne termina pas le trajet jusqu’à la chambre, comme elle l’aurait pensé,… A mi-chemin, il la plaqua contre un mur et reprit son étreinte de plus belle ! Ses mains avides parcouraient son corps… Lui caressèrent les hanches, puis les cuisses, remontèrent vers les bras, puis saisirent ses seins, redescendirent ensuite vers son ventre, ainsi que son bas-ventre… Il sentait le corps de sa partenaire trembler en entier de désir sous cette ardeur ! Leurs langues dansaient un long tango, accélérant tel un paso doble, puis plus langoureusement comme une milonga. Puis elle se libéra de ces lèvres endiablées et s’élança en tirant le col de sa chemise d’une main pour dénuder cette peau tiède qu’elle voulait goûter et mordit le cou de son apollon avec voracité ! L’échine de l’homme tressaillit. Pour se venger, il tira la tête de sa compagne par les cheveux et fermement, il la retourna dos à lui et la plaqua contre le mur à nouveau, pressant son membre dur contre ses fesses pour lui faire sentir le feu qui le consumait, une main toujours ferme dans ses cheveux et l’autre tirant le col de son chandail pour la mordre à son tour! Un cri s’échappa d’entre les lèvres de son l’amante… Il sentit que ses jambes se ramollissaient. Heureusement qu’il la maintenant de son corps pour l’appuyer contre le mur, sinon elle aurait sûrement défaillit sur le plancher !

Il desserra les dents et couvrit son cou, ainsi que son épaule de baisers emplis d’une infinie tendresse, puis il murmura à son oreille : « J’avais tellement hâte de te prendre, ma douce ! J’ai envie de te faire l’amour, sans arrêt, toute la journée ! Je veux sentir combien ton ventre est bouillant sur ma verge ! Sens-tu combien j’ai envie de toi, ma chérie ? »

Comme pour répondre à ces mots, il sentit qu’elle relevait les fesses pour mieux se presser contre son sexe. Puis il sentit sa main se faufiler jusqu’à sa boucle de ceinture et entreprendre le périlleux combat d’une seule main. Pour l’aider il recula un peu, elle en profita pour se retourner et s’aider de l’autre main, tout en observant son compagnon d’un regard espiègle, accompagné de ce sourire en coin qu’il lui connaissait bien. Une fois la boucle défaite, il l’attira dans la chambre où il trouvait qu’ils seraient plus confortables pour la suite de leurs ébats.
Une fois en face du lit, il la retourna à nouveau dos à lui et appuya à la fois avec tendresse et fermeté dans le haut du dos de sa muse, pour la pencher vers l’avant, au-dessus du lit. Il releva la jupe de sa partenaire par-dessus ses reins, fit glisser sa culotte brésilienne en dentelle rouge et noir jusqu’au sol et finalement, avec un de ses pieds, il fit glisser ceux de sa partenaire un après l’autre vers l’extérieur pour lui écarter largement ses jambes et ainsi obtenir une vue imprenable sur sa chatte humide d’excitation ! Il déposa ses mains sur ces fesses bien rondes qu’il aimait tant pour les caresser doucement, sa verge surexcitée bien accotée sur la raie de ces mêmes fesses comme s’il s’agissait de son lit et resta ainsi un moment pour permettre à son amante d’apprécié sa présence et ce moment rempli d’une infinie sensualité. Il voulait prendre son temps et savourer chaque seconde qui passait, tellement le contact de sa chère femme lui avait manqué ! Il la sentit frémir sous ses mains qui remontèrent le long des côtés de son dos en relevant lentement la camisole moulante, rejoignant d’abord les seins qu’il malaxa un instant pour finalement terminer le retrait du vêtement qui fit un vol plané vers le plancher. Elle portait un soutien-gorge assorti à sa culotte, en dentelle noire et rouge lui aussi, et il se dit à lui-même combien elle connaissait ses goûts en matière de lingerie ! Il débuta un très, très subtil mouvement de bassin avant-arrière pour que ses testicules aillent frapper presque imperceptiblement l’entrejambe de sa louve qui réagit très rapidement à ce contact en laissant échapper quelques soupirs. Tout en poursuivant ce mouvement de ressac, il tendit le bras vers un tiroir de la commode qui était située juste derrière lui et y tira quelques objets qui allaient servir la suite de ces idées!
– Vas-y, ma louve, grimpe sur le lit, maintenant, dit-il de sa voix la plus chaude qui excitait tellement sa muse ! Elle lui obéit immédiatement et ses jambes remontèrent sur le lit.

Elle se trouvait maintenant à quatre pattes devant lui, prête à se faire prendre en levrette, mais au lieu de la prendre tout de suite, malgré l’ardeur et l’impatience de son phallus fièrement dressé, il la fit se reculer pour venir s’assoir sur ses chevilles, leva une cheville de son amante pour glisser la corde de coton qu’il venait de prendre et noua le mollet et la cuisse ensemble. Il fit ensuite de même avec la jambe droite. Finalement il rassembla ces bras d’une peau d’albâtre en arrière et lui ligota les poignets ensemble. Elle était maintenant complètement à la merci du plaisir qu’il allait lui prodiguer et savait à quel point elle appréciait cet état de vulnérabilité qui la mettait à la fois mal-à-l’aise et complètement abandonnée à la volupté !

Afin de déjà la mettre dans l’entrain de ce qui se préparait pour elle, il débuta par lui claquer bruyamment une fesse, ce qui lui fit lâcher un petit cri de surprise, avant d’aller la rejoindre sur le lit où il s’agenouilla à ses côtés. Il l’enlaça par la taille et glissa une main masculine derrière sa nuque docile pour approcher son visage et l’embrasser langoureusement, mordillant, puis caressant ses lèvres de sa langue, qui glissa ensuite à l’intérieur de cette bouche avide pour aller valser avec la langue voisine. Il adorait le contact de sa peau douce et tiède. Puis sa main se retira de sa taille pour remonter lentement, frôlant la peau fébrile du flanc, puis celle du ventre, pour finalement terminer son parcourt pervers vers cette poitrine toujours abritée de la dentelle noire, mais ne tarda point à dégrafer l’attache pour enfin découvrir ces deux mamelons rosés qui durcissaient déjà au contact de l’air frais et se précipita sur eux pour les pincés légèrement à tour de rôle, se qui arracha un gémissement étouffé sous la bouche plaquée de sa languissante courtisane. Puis il libéra sa bouche, sans abandonner le bout de ses seins bien pointus que son index fouettait gentiment alternativement en lui demandant : « Alors, ma chatte, tu aimes ça ? ». Elle déglutit péniblement et acquiesça simplement de la tête entre deux soupirs, mais il ne fut pas satisfait de sa réponse et insista, empoignant les cheveux de sa nuque plus fermement et lui relevant la tête. Il approcha son visage du sien jusqu’à ce que ses lèvres furent à quelques millimètres à peine des siennes et lui murmura suavement : « Comment ma douce ? Je n’ai pas entendu ? Désires-tu sentir ma verge profondément en toi ? ». Il pouvait lire dans ses yeux brillants qui admiraient les siens combien elle était vouée à l’érotisme du moment. Elle fit un effort suprême pour s’obliger à répondre à la question, le fixa de ses prunelles suppliantes et réussit à bégayer imperceptiblement au travers de sa respiration haletante : « Oui,… Mon amour,… Je… Je te désire… Je veux te sentir enfin en moi ! » Feignant la déception provoquée par cette faible réponse, il interrompit le harcèlement de ses mamelons devenus bien durs et gorgés de sang, provoquant un regard de supplication dans les yeux de sa compagne tourmentée.
– Je crois que tu ne le mérites pas encore, ma chérie, tu n’as pas l’air suffisamment attisée, répliqua-t-il sur un ton d’indifférence parfaitement simulé.

Pour accompagner la parole, il la fit basculer vers l’avant et baissa sa tête jusqu’à ce qu’elle soit à la hauteur de son éperon patient et plaqua la bouche de son amante contre son membre érigé ! La jeune femme, toujours avide de goûter la peau musquée de la corne de son homme, ouvrit aussitôt les lèvres et se laissa guider au rythme de vas et vient que son gaillard lui indiqua de cette main réconfortante toujours emmêlée dans ses cheveux. Sentir combien son sexe était ferme contre sa langue, jusqu’au fond de sa bouche consumait encore plus ardemment son appétence ! Elle percevait bien sa vulve fiévreuse et ses cuisses ruisselantes refroidir par l’air ambiant. Connaissant bien son Apollon, elle savait, sans le voir, qu’il lorgnait avec appétit sa croupe, ainsi que le labeur que sa bouche exécutait avec assiduité le long de sa hampe.

Comme pour confirmer sa pensée, elle sursauta de plaisir et gémit en sentant soudain une patte pesante venir lui claquer une deuxième fois une fesse dans un léger pincement qui envahit son ventre d’une chaleur intense. Immédiatement, la main resta au bas de son dos pour la caresser affectueusement, dessinant des trajets indistincts près de son coccyx, puis descendant le long de la raie de ses fesses pour finalement aller chatouiller son anus timide. Des milliers de frissons la parcoururent de part en part du ventre, descendant jusque dans ses cuisses sous ces caresses intimes ! Elle sentait bien les liens légèrement serrés autour de ses jambes à la fois délicieusement agaçants, mais qui lui servaient aussi de support afin de maintenir la position choisie par son bien-aimé. Un fluide s’écoula légèrement du bout du gland qu’elle aguichait d’un jeu de langue et submergea ses papilles gustatives qui dégustèrent ce goût exhalé. Elle entendit avec satisfaction son compagnon se lamenter un brin sous le ravissement que sa gourmandise provoquait. Puis la main qui tenait cette tige de fer retira le fruit si convoité des bienfaits qu’elle lui prodiguait et il commença à se masturber très, très lentement à seulement quelques centimètres de ses lèvres, laissant la jeune soumise complètement perdue et désespérée devant ce spectacle des plus excitant ! Elle gardait les lèvres entrouvertes en prière et leva les yeux vers lui en l’implorant de rendre à son agilité cette masculinité dont elle était si avide !

Aux limites de l’épuisement de sa propre volonté, le tortionnaire se joua encore un peu de sa victime en appuyant légèrement le bout de son gland gonflé contre ces lèvres affamées et se retira immédiatement à contrecœur pour dévorer le désarroi qu’il pouvait lire dans les yeux de cette douce créature qu’il aimait si passionnément ! Se disant qu’elle avait bien docilement enduré et savouré cette longue persécution, il la laissa récupérer une dernière fois sa flèche de cupidon en bouche qu’elle engloutit avec ardeur, puis la releva à nouveau et la recoucha sur le ventre cette fois en lui couvrant le dos de minauderies remplies de douceur pendant qu’il se dirigea derrière elle pour enfin la prendre fougueusement.

Il inséra d’abord son index qui pénétra instantanément l’intérieur embrasé du feu de la luxure, récompensé par une lamentation révélatrice échappée de sa partenaire alanguie par l’extase. Délicatement, il écarta encore plus les cuisses inondées de fluide corporel et lentement, délicieusement il appuya son gland contre l’orée de l’antre accueillant des délices, laissant le temps s’éterniser et s’enfonça finalement, tranquillement à l’intérieur du ventre torride. Les deux amants râlèrent longuement à l’unisson durant cette harmonieuse communion. Il pressa plus fort ses hanches pour pénétrer encore plus profondément ses reins brûlants, puis il se retira progressivement en prenant bien son temps pour qu’ils puissent mutuellement jouir intensément de cette union si particulière, puis recommença le manège du début et ainsi de suite durant un long et langoureux moment ! Chaque visite du petit pèlerin prenait un bon dix secondes de va et vient, se délectant des contractions musclées qui le comprimait agréablement d’une cadence régulière. Peu à peu, ce rythme s’accéléra, alors le jeune homme comprit que sa compagne atteindrait sous peu la félicité suprême et il changea vivement l’allure de la volée, jusqu’à ce que la pulsation devint si exaltée que sa muse gémit d’abord, puis aussitôt hurla son soulagement ! À ce signe, il cessa tout mouvement et transperça de toutes ses forces et de toute sa verge la tanière palpitante ! Instantanément, la jouissance extrême le gagna à son tour et le guerrier accompagna les plaintes de son amante d’un rugissement victorieux !

Après avoir délié les entraves de sa complice, les deux tourtereaux, épuisés, mais rassasiés, s’enlacèrent abondamment avant de se livrer au régal d’un sommeil bienfaiteur…

Proposée par Roxxxy

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