Résumé : Par une banale sortie, nous vécûmes notre première expérience avec deux hommes dans un club libertins.
Un soir que nous sortions moi et Marlène ma compagne, nous n’avions pas de but précis, nous sommes passés devant un club libertin. Curieux nous nous sommes arrêtés et avons constatés que la porte était entre-ouverte. La musique assourdie par les bruits qui nous entouraient nous a donné envie de rentrer et de vouloir en voir plus. Après avoir été chaleureusement accueilli, nous allâmes devant le bar tout en traversant la piste de danse où des gens courts vêtus et peu vêtus se trémoussaient.
Une soirée très dance-hot Plusieurs hommes assis au bar nous regardèrent de bas en haut avec un léger sourire. Je ne me sentis pas trop à l’aise car ma compagne étant très ravissante, je fixais du regard tous ces hommes. Puis en tant qu’homme je me reprenais et d’une fierté dit simplement « Bonsoir ».
Ma compagne me serrait, elle était tellement jolie dans sa robe qui laissait sortir un décolleté très plongeant. Au bout de quelques minutes, le regard toujours persistant de ces hommes et femmes m’excita et je venais d’avoir une petite érection, comme un fantasme qui me traversait.
Je pris Marlène par la main et l’invita à danser, on commença une danse très lente et de plus en plus mouvementée.
Un homme puis deux quittèrent le bar pour nous rejoindre sur la piste. D’autres couples déjà présents dansaient autour de nous. C’est bizarre mais on a comme le sentiment qu’il n’y plus que vous sur le piste et que les autres se connaissent, ne perdant pas mon sang froid je pris Marlène par la taille en la serrant très fort contre moi, j’étais de plus en plus excité et je sentais la poitrine très dure de Marlène contre mon torse, là j’avais une grosse érection, puis soudain un homme passa sa main dans le dos de Marlène tout en la caressant, je sentis la jalousie monter en moi puis je me suis dit, étant dans un club à câlins, il faut se contrôler et jouer le jeu, toute perte de moyen les renards peuvent en profiter. Je me ressaisis tout en ayant un grand sourire en regardant Marlène.
Après quelques minutes la danse devint plus lente je me mis à caresser Marlène de plus en plus fort avec de plus en plus d’intimité je la retournais face à la glace tout en lui caressant la poitrine puis l’homme se mit face à elle avec un grand sourire. Il l’a prise par la taille et je me sentis bien seul d’un coup alors, je descendis mes mains jusqu’à ses fesses tout en la palpant de ce fait. Le gars commençait à entourer de ses mains la poitrine généreuse de Marlène. Elle bascula la tête en arrière je l’embrassais dans le cou tout en faufilant mes doigts sous sa robe avec la surprise de constater que cette petite coquine n’avait pas de culotte, j’étais très excité je ne débandais plus tout en me frottant sur son postérieur si ferme, Marlène commençait à gémir et soudain le deuxième homme qui avait vu toute la scène s’approcha et nous rejoignit. Il n’y avait pas un mais deux protagonistes maintenant qui caressaient Marlène, je me sentis très bizarre et à la fois fière de voir que Marlène avait une telle attirance.
Pendant de longues minutes nous nous mîmes à danser tout en caressant Marlène, je ne savais plus si c’étaient mes mains, leurs mains et même Marlène était perdue dans toute cette extase. Alors après la fin de la chanson, je pris Marlène par la main et l’emmena s’asseoir sur le canapé en face. Les deux hommes ne se firent pas prier et nous suivirent ni une ni deux. Marlène s’assit à côté de moi puis je l’embrassais fougueusement mon érection ne m’a pas quittée et je sentais les mains de Marlène qui caressaient ma bosse à travers mon pantalon et toujours les deux hommes qui la caressait et la caressait encore, l’un d’eux très occupé par son énorme poitrine se mits à lui sucer le téton, Marlène fit un gémissement tout en sortant mon sexe bien dur de mon pantalon dont elle avait ouvert la braguette. Elle approcha sa langue, les deux hommes devenaient de plus en plus entreprenants et maintenant tous les deux lui léchaient et suçaient les seins, ses tétons étaient dressés comme un mini sexe en érection. Je regardais ces deux hommes tout en sentant la bouche de Marlène qui montait et descendait le long de mon sexe. Soudain pendant que je caressais sa vulve, je sentis une main à côté de la mienne, je ressentis une drôle de sensation comme une étrange excitation que je n’avais jamais ressentie auparavant. Ses doigts accompagnèrent les miens autour de son sexe de plus en plus humide. « Hummm », je me suis dis « Elle aime ça la cochonne !! ». Alors j’enlevais ma main pour la laisser à cet inconnu. Comme un des ses seins était libre, je profitais de le prendre et de le malaxer fermement, puis je pris la bouche de Marlène et l’embrassait langoureusement. Soudain je jetais un œil vers les jambes de Marlène et j’aperçus la tête du gars dans l’entrecuisse qui lui léchait sa petite chatte bien mouillée. Elle se mit à gémir, je sentais sa langue dure dans ma bouche, puis je la vis prendre ma queue et celle de l’autre inconnu et elle commença à nous sucer de plus en plus vigoureusement chacun à son tour. « Hummm la salope, je la connaissais pas comme ça, mais on y prend goût. ». L’autre homme saisissait toujours ses cuisses tout en lui fourrant sa langue dans sa chatte toute rasée.
Après quelques minutes d’échanges d’actes sexuels, je pris la décision d’emmener Marlène dans une chambre fermée. J’étais tellement excité que je pris Marlène par tous les trous, les positions et je lui fis l’amour comme je l’avais jamais fait auparavant, elle se mit à gémir comme jamais je ne l’avais entendu. Puis vint le moment ou je jouissais, je ne pus m’empêcher de me retirer et de l’arroser de mon sperme sur son visage tellement la puissance de mon éjaculation était forte et surexcitante.
Voilà ce fut une agréable soirée, on a pas revu les deux inconnus, nous avons pleinement profité de cette nouvelles expériences sexuelles à quatre avec deux inconnus très polis et sympathiques.
Moralité de l’histoire nous nous sommes mélangés caressés sucés mais à aucun moment il n’y a eu pénétration avec un des inconnus, je n’aurais pas toléré ça et notre intimité reste notre jardin privé.
Bisous bien baveux.
Proposée par sweetlove
Joli récit, sympa.